A force de rêver et de me raconter des histoires, comme ces chansons d'Otis Redding que l'on écoute pour passer le temps avant que le soleil se couche. Et je rigole de ce chacun est devenu de ce que chacun a parcouru sont propre chemin. Je suis à l'autre bout du monde sur une île ou la mer prend tellement de place que l'on ne la voit plus depuis 5 ans maintenant.
Je n'y pense plus, à cette vie d'avant, parce qu'elle en me manque pas, j'aurai fini pas tellement m'ennuyer au fond de cette campagne.
Je suis toujours dans mes histoires d'espion, tueur en série et je me demande même si un jour je ne vais lui donner vie. Comme dans les comtes orientaux, une page chaque jour mais pas de livre sensuel, un thriller avec des pages qui se suivent dans un univers qui n'appartient qu'à moi.

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