Févier ....
J'arrête d'écrire, de parler. Rien ne va plus, même si je pense encore que la situation n'est pas si désespérée que cela. Sauf que, la relation agonise, faute de respirer normalement son coeur ne bat plus. Je laisse les jours passer alors que je sais pertinemment que les jours sont désormais comptés.
Je suis très fatiguée, je dois peser 35 kilos toute nue je perds le fil des priorités, alors que mon devoir n'est pas près de celui qui part.
Bref.
Puis un jour déclic. Le téléphone ne sonne plus définitivement. Comme une souffrance ultime, je laisse mourir enfin sur l'autel du ras le bol presque six ans de lutte. Plus jamais, au grand jamais je ne décrocherai. Il ne me reste plus qu'à faire mon deuil de toutes ces année et de prendre enfin les décisions qui s'imposent.
Ce sera long, très long, avec des hauts des bas, des datent qui se choquent et se heurtent. Je digère ma responsabilité, je finis par l'accepter, je prends la mesure de mes mensonges, je mange mon pain noir avec un poids sur l'estomac tous les matins.
Alors voilà, c'est la fin point.
Je suis très fatiguée, je dois peser 35 kilos toute nue je perds le fil des priorités, alors que mon devoir n'est pas près de celui qui part.
Bref.
Puis un jour déclic. Le téléphone ne sonne plus définitivement. Comme une souffrance ultime, je laisse mourir enfin sur l'autel du ras le bol presque six ans de lutte. Plus jamais, au grand jamais je ne décrocherai. Il ne me reste plus qu'à faire mon deuil de toutes ces année et de prendre enfin les décisions qui s'imposent.
Ce sera long, très long, avec des hauts des bas, des datent qui se choquent et se heurtent. Je digère ma responsabilité, je finis par l'accepter, je prends la mesure de mes mensonges, je mange mon pain noir avec un poids sur l'estomac tous les matins.
Alors voilà, c'est la fin point.
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