Positivement

12 jours donc 12 mois.

Décembre 2011.

Je me souviens de ces baffes monumentales de l'année écoulée. Je m’apprête à reprendre mon travail quelques jours après le 1 er janvier et je sais d'ores et déjà que l'année va être agitée et tumultueuse. C'est l'heure des choix et de la réflexion qui s'impose.
J'ai une idée puis deux puis trois. Trois grandes idées qui ne me quitteront pas de l'année. Je ne sais pas laquelle des trois sera la meilleure.

Je sais laquelle aujourd'hui.

Tout ce qui me titrait vers l'avant, c'était de penser que ces idées qui m'ont tenu en vie durant des mois sont les meilleures que j'ai eu depuis des mois.
Il ne me restait plus qu'à fermer la porte du passé d'une façon apothéose, feu d'artifice et de liquider ce qui devait enfin être liquidé.

Le mois de décembre pourtant douloureux se finit sur une note amère sur fond de trahison encore non avouée. La coupe est pleine. Je ne le sus que bien plus tard.

Maintenant, je sais que ces décisions furent salutaires et c'est aujourd'hui que je vais pouvoir en profiter pleinement.