Francis Cabrel - il faudra leur dire








Il y a eu ce moment ou je parvenais pas à savoir ce que j'avais envie de faire professionnellement parlant. Je le sais pas moi même encore aujourd'hui mon passif de salariée soulève toujours autant de question. Engouffrée dans mon emploi du temps à la maison, j'ai toujours eu l'impression d'être dans un brouillard. Je ne suis pas remplaçable ici, quitter un temps plein maison, certes pas vraiment enrichissant mais très utile parce que je suis efficace.  Le referendum passant par là, quatre années d'incertitudes politiques et économiques vont désormais se succéder.
Je suis sure que j'ai la force et la capacité des compétences acquises au fil de mes années professionnelles mais j'ai toujours autant l'impression d'être une handicapée moteur en rédactionnel d'avoir un style brouillon et peu rigoureux. A cela s'ajoute des années de creux, ce qui n'arrange rien. Ces questions, je me les serai forcément posées en métropole, d'une manière beaucoup violente.
Le mystère reste entier.

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