Brodway project - here is always somewhere else ost










Oui, je suis toujours là, fidèle au poste de mes pages filantes sur l'arc en ciel des jours qui passent. Comme je l'ai déjà évoqué ces jours finissent forcément par compter plus que les premiers mois de l'année 2014.
Au début, j'étais folle dingue de pouvoir sortir tous mes vêtements de ma penderie, désormais j'en suis limite blasée. Pas un pull depuis quatre mois, c'est toujours à peu près la même température avec peu de différence entre l'hiver et le printemps.
Je ne supporte toujours pas la clim comme les radiateurs les précédents hiver.
Je serait presque comme Lucy, j'utilise une grande partie de mon intelligence croissante au service de mes tâches quotidiennes. Ce faisant, je n'ai pas eu encore de passage à vide, j'arrive presque à utiliser les 10 % que je dois utiliser quotidiennement. Si je continue encore comme ça dans quelques mois je serai Dieu.
Le film est presque proche du zéro pointé, il n'aura pas laissé de traces importantes dans ma mémoire mais le réalisateur arrive tout de même, à nous faire croire que finalement le destin peur nous faire faire autre chose que ce que nous aurions pu faire.
J'en suis la preuve vivante.

J'ai de marge avant de remplir les 90 pour cent restant mais j'y travaille ardemment.

J'invite le lecteur à finalement, s’attarder sur mes lignes en respectant mon raisonnement du jour : la vie est bien trop courte pour se faire chier dans un endroit sans avenir. Et c'est à ça que j’aspirais en partant de mon trou perdu laissant dérrière moi des années de débâcle sans nom.

C'est désormais une sonnerie sans correspondant qui attend ceux qui penseraient pouvoir avoir des nouvelles au cas où je me planterai royalement.

Ne vous en faites pas, je m'accroche et mon cerveau va bientôt dépasser ces fichus 10 pour cent d'intelligence disponible.

Je ne suis pas blonde.

Ok

Allez on ferme !

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