Was there nothing - ASGEIR










Je n'ai pas le temps de venir ici, si tout va ou si tout se passe bien. Même ici, nous passons de l'euphorie, à l’extrême excitation  au plus profond désarrois.
Dans la ligne, je veux des pâtes avec le petit Simon en vedette, je claironne tant bien que mal que "je veux une maison" ...........on avait trouvé, je dis on avait, juste pile poil la taille, avec l'espace, les cocotiers, la balançoire. L'adresse aurait fait pâlir tout curé qui se respecte.
Et puis comme des cons , on a un peu trop réfléchit ........genre kilomètres, matin, cartons, et encore camion.
Forcément, nous ne sommes pas TOUS du même avis sur la question. Mais quelque chose semble me dire que nous sommes passés un peu à côté. 
Et vu que je dois gravir l'Everest professionnel que j'ai devant moi, qu'une fois gravi, il y aura encore une chaine de montagne, nous ne sommes pas arrivés au bout de nos peines.
Vu le contexte politique, tout le monde retient son souffle, je sais d'ores et déjà que l'on va me poser une question cruciale sur le long terme: êtes vous là pour longtemps !
Et comme de toute façon, je mets toujours la barre plus haut histoire de voir si nous tenons le coup, je me dis que même dans l'hypothèse d'une révolution, vu que la France cette hypocrite, la France va nous laisser tomber (tiens on dirait une chanson célèbre), on aura toujours le soleil et le lagon.

Comme je suis en train de prouver, que nous ne sommes pas des vieux cons, et qu'en définitive il est possible de faire autre chose malgré son âge.

Bon, bah, je me casse !

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