C’était tellement facile de me coller une étiquette, et de se cacher derrière.

Oui, je gardais cette relation secrète. Pas pour me cacher.

C’était pour protéger les proches, pour savoir si tout pouvait rouler.

Toi ça t'arrangeait, pour pouvoir te cacher derrière moi. Cette étiquette, je l'ai tellement portée et transportée que je n'arrivais plus à m'en débarrasser.

Comment? pourquoi ?

Il était plus facile de se défiler que d'affronter notre vérité.

Me laisser me faire harceler t'a permis de te défausser et déchapper à toute forme de procès.

J'aurai pu crever tu n'aurais pas levé le petit doigt.

C'est tout comme.

Comme ce fut facile. J'ai pensé tellement de fois laisser des enregistrements pour me défendre et sauver les meubles.

Il me reste le secret, qui n'est absolument pas un objet de chantage mais avec lequel on m'a fait chanter.

C'est allé plus loin que des pneus crevés ou des lettres d'insultes.

C'est marrant, je m'aprête à fermer une parenthèse, encore une, la dernière mais la plus belle, c'est le baroud d'honneur, le couteau sous la gorge, la souffrance qu'il faut cacher ...........

Tu en sauras plus, plus tard au gré de mes pages, des détails et tu vas me détester comme jamais.

tu va me détester autant que je t'ai aimé, tu vas imaginer le sang qui coule comme je l'ai imaginé comme tu m'as laissée, morte ..........

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