Toi tu sortais avec un paquet de filles tout étant marié et tu étais admiré, moi je couchais avec toi ou d'autres sans statut fixe réel, sans gosses, ni contrat et j'étais d'un seul coup une pute.

La vie quoi.

Le jugement des autres qui n'avaient rien d'autre à faire que de discuter derrière mon dos.

J'ai souvent pris ça pour de la jalousie.

Je n'avais pas de honte à avoir.

Personne n'a jamais voulu faire éclater la vérité. Ce que je ressentais ou j'éprouvais.

Quand tout a été cassé, brisé piétiné alors que personne ne recherchait plus la vérité.

Quand, j'étais bien au fond du trou, tu t'es barré comme un lâche.

Je n'avais plus rien à faire, à part partir ailleurs ou crever sur place. Tu as juste pris tes affaires et tu as planté la fille qui avait sauvé ta propre vie.

Tu l'avais insulté plusieurs mois auparavant dans ta chambre de réanimation. Tu m'a traité d’égotiste. Tu m'as précisé que tu préférais voir tes copines, celle qui passaient leur temps à blasphémer sur mon compte.

J'ai préféré partir plutôt que de me planter.

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