Vous vous demandez ce que je fais .....ou ce que je en fais pas, ou plus.

C'est la fin de l'année comme chaque année mais celle-là est marquée d'un peut être sceau blanc ou noir c'est selon. Nous sommes toujours sur notre île, celle dont tout le monde se fout là bas en métropole. La situation n'est pas meilleure qu'ailleurs mais on y vit normalement sans virus mais surtout sans pouvoir se déplacer.

On est donc coincé.

A priori et dans le meilleur des cas jusqu'en milieu d'année prochaine. Les Australiens ne sont pas prêts de levée leur confinement, reste les Néo-zélandais, aucune idée, no way. 

Après bien des rebondissements, j'ai fini par signer définitivement la vente de la maison, neuf ans après son état s'était tellement dégradé que j'avais le dos au mur, pas moyen de trouver une solution d'attente. J'ai du me résoudre, m'obliger avec comme point de non retour celui de ne pas rentrer, ou ne plus rentrer et ce de manière définitive.

Et finalement Aimer des gens morts ou des gens que je considère comme mort ça me rend dingue.Pas d’inquiétude, je suis toujours tiraillée bonne à psychanalysée pendant mes vingt prochaines décennies.  Je n'ai jamais trouvé de pourquoi, ni de comment mais j'ai presque décelé des réponses. 

Neuf ans après (comme la coïncidence des dates est impressionnante) j'ai toujours cette boule au fond de la gorge, ces sentiments tenaces, cette haine inachevée contre le destin, cette envie de lui dire je t'aime, ces sensations physiques que ne retrouve pas ............

So, 



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