New day












Un kaléidoscope.
Après ces dix jours de farniente, il ne reste que des images furtives d'un bonheur aux odeurs d'été. On a pu s'écouter, faire le point, même parfois ne rien dire.
Et puis se projeter c'est bien. La maison n'est plus la maison des courants d'air.
Il y a une maison plus une maison.
J'en profite avant que tout soit fini.
Parce que si tout commence ici, tout est presque fini là bas.
J'ai parfois comme un pincement, une espèce de truc au fond de moi, mais il faut respecter cette décision. Elle est dure mais c'est ainsi même si encore une fois je laisse un bout de moi même aux mains d'un autre.
Concrètement, la survie passe par ce cheminement.
Il est bien temps d'agir d'une autre façon.

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