You should know where i'm coming from - Banks











Les courageux pourront regarder les gardiens du Lagon vendredi soir, histoire d'en connaître un peu plus sur l'univers qui nous entoure ici.

Si je pouvais en convaincre certains de faire le grand saut à plus de 20 000 kilomètres!

Une chose est sure, on n'a pas vu les fêtes passer parce que vivre avec un traineau et distribuer des jouets lorsqu'il fait trente degrés, ce n'est pas crédible du tout.
Cette année on va transformer les essais, se maintenir dans la droite ligne, continuer à s'aimer même si on se croise un peu.

Je suis très occupée, j'ai un cheval rose qui est malade et je dois organiser les grandes vacances jusqu'au 17 février. Une chose est sure, il faut apprendre la patience, car ici, les gens ne sont pas pressés. On obtient les choses en tenant compte de la philosophie locale.

Je peux vous garantir que c'est une bonne leçon de vie, les gens pressés, stressés et peu aimables n'ont pas de place ou alors ils se font jeter manu militari.

Un poète y aurait sa place, un écrivain, un philosophe de la mer ou des femmes que sais je encore........
En même temps c'est me bout du monde et comme les bagnards d'un autre temps, nous roulons notre caillou. Il faut juste s'habituer.

Selon moi, les prochains mois seront juste une ligne droite avant de faire un nouveau bond en avant.
Ce qui est bon c'est aussi de se retrouver face à des choses nouvelles et se confronter à sois même pour étudier sa capacité d'adaptation.

En gros, c'est bon de bouleverser tous ses repère. Pour le moment, je suis encore dans cette phase de découverte qui est si agréable.

On mesure et on relativise toujours les images qui nous parviennent, ainsi que le passage à la nouvelle année, tout simplement parce que je me suis rendue compte que la notion du temps face à la rotation de la terre est une toute petite chose.

En même temps je ne regrette pas le temps des dinosaures.

Ou pas ! 

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