You can't hurry love











J'ai fermé la dernière saison de cette série qui se déroule dans un superbe cabinet d'avocat à Chicago. Je crois que ça passe le temps, mais il faut être un peu ferru de procédure civile version outre mer. La fin est presque surprenante mais logique, fin que j'aurai presque pu rapprocher de ma propre situation, avec des nuances.

On choisit des voies contraires pour éviter des situations ubuesques.

Quand même........

Je suis contente d'avoir quitté mes vieux meubles comme si j'avais occupé pendant des mois, un appartement partagé en commun. J'ai l'impression de l'avoir vendu et d'avoir jeté la clef.

Reste que.........que ce soit professionnellement ou personnellement j'y ai appris un peu trop l'humilité.
Je clos aussi cinq année d'une belle parenthèse qui est plus importante que cette coupure tragique et définitive.

Je reconstruis.

Pièce par pièce, page après page, sentiment après sentiment, de fuite en attachement.

Même si j'ai parfois l'impression de patiner dans la semoule.

C'est comme tout, on fait des bonds un matin, on stagne ensuite pendant des semaines. Parfois, on frôle la survie.

Mais on s'aime c'est l'essentiel, et zut pour les fantômes du passé.




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