Souvent je rigole lorsque je lorgne d'un oeil peu compatissant les crises que vives les autres. Moi, qui suit de nouveau collée contre une route droite ..........enfin pas si droite que cela. La route est encore longue pour atteindre le but ultime que je me suis fixée. On peur dire qu'il reste encore pas mal de choses à faire.
Ces année de disette m'ont semble t-il beaucoup appris, et je m'octroie le droit de dire tout haut aujourd'hui ce que je pensais tout bas il y a encore quelque mois.

Je peux encore écrire que je regrette amèrement la fin de l'histoire ...oui......bien sur. J'ose maintenant faire le constat d'avoir vécu avec quelqu'un qui malgré lui ratait tout ce qu'il pouvait entreprendre, même les ruptures.

Je pensais au demeurant que c'était lui qui serait le plus heureux sauf que .........non finalement c'est moi.

J'aime ces bonheurs simples, comme de passer enfin du temps chez moi, sans être collée à mon téléphone attendant des mots ou des rendez-vous pourris habités par le rien.
J'aime désormais ma nouvelle indépendance la façon de gérer mon temps de faire des projets et petit à petit de ressentir ce que je me refusait depuis si longtemps.

J'ai encore cet esprit de vengeance parce que je ne saurai accepter d'avoir été trainée dans la boue alors que j'essayais de sauver juste ce qui était sauvable.

Bref.

Je me venge en me gavant de vie.

Et c'est pas si mal.