You have to be unknown

Internet mange les informations que vous lui donnez. D'où la nécessité de se donner de multiples identités, d'où l'utilité de ne ne jamais donner son nom et de vivre sa vie dans son coin sans la diffuser plus à même.
Vivons heureux vivons cachés disait le philosophe.
Alors quand j'entends les gens se plaindre des réseaux sociaux et de leur pseudo confidentialité, j'ai presque envie de rigoler.
J'imagine les gens qui se sont retrouvés avec leurs conversations personnelles pleine page avec leur nom au dessus.
Certains déjà ont l'habitude d'y mettre leur bite, je n'ose même pas imaginer si leur copine actuelle découvre les anciennes relations.
Comme quoi, il faut toujours se méfier avant d'écrire quelque chose et toujours effacer les vieux machins. Sinon, ça explose à la tronche un jour ou un autre........l'effet boomerang, ça fait mal. De toute façon il n'existe aucune clause de confidentialité, aucune barrière, aucun système de protection digne de ce nom.
Pourquoi me reprocher d'écrire au 6ème degré de lisibilité. Et puis j'ai aussi toute latitude pour effacer mon blog si je le souhaite. Et ce n'est pas avec un lecteur Russe que je vais avoir des problèmes de confidentialité (je te salue Igor si tu me lis), il y a bien longtemps que je ne donne plus cette adresse, et je n'ai jamais montré ma bite à personne ! ce blog est un iceberg ! (chéri si me lis on se comprend) 
Pour la horde ! (c'est ce soir le grand soir Wowwwwwwwwwwww)