News from nowhere








En définitive, à ce jour, je n'ai absolument pas grand chose à raconter.
Finalement, une fois passé l'heure des bilans, une fois préssée l'éponge des souvenirs, une fois que l'on a tourné les pages j'oserai dire qu'il n'y a plus rien d'intéres
sant à gratter.
Et pourtant, paradoxalement tout s'accélère.
Les périodes de calme sont aussi agréables pour profiter du temps qui passe et pour libérer son cerveau de toutes les pensées polluantes. C'est bon aussi dene rien faire et de se laisser vivre un peu.

Il me manque tout de même de longues discussions à bâtons rompus parce que le temps manque, il me manque des pauses autres que les pauses déjeuner pour là aussi parler d'autre chose que du travail ou du travail. Je côtoie des gens fermés et les sujets de conversation souvent s'épuisent dès lors que l'on quitte la spère quodidienne.

J'ai toujours aimé les gens ouverts sur le monde, et ça me manque énormément.

Je n'ai plus que quelques mois à attendre et tout sera fini définitivement. Pour l'instant j'attends, je me fais oublier.

Commentaires

Articles les plus consultés