Winter is coming but fever is already here.









A moins d'être complètement déconnecté du monde réel, ou féru de jardinage personne ne restera insensible à la nouvelle saison de GOT qui débute ce soir via OCS en décalé de 24 heures avec HBO.

Pourtant, après avoir côtoyé pendant moult années, les nains, les elfes et les orcs de tous poils  j'ai toujours adhéré à l'univers qui me rappelle mes heures de jeu.

J'ai de la chance, puisque j'ai pu voir l'épisode en avant première. 

Le net pullule d'articles d'extraits, de bandes annonces, de reprise du générique version jazz, le monde a même publié un très bon résumé de trois minutes des trois mille pages de politique étrangère de la carte.

Série proposée pour les avertis il y a deux ans, il n'en demeure pas mois qu'elle plait aux midinettes et aux femmes en mal de chevaliers crasseux. La série se caractérise par sa violence, ses scènes de sexe, et son univers  quand même réservé à un public qui n'a pas peur de suivre un scénario parfois compliqué à l'extrême.Par ailleurs, je ne m'identifie à personne pour une fois.

Je me suis assise en me délectant de la version originale sur grand écran, merci beaucoup. Pour le moment la série suit sa ligne de conduite mais comme les scénaristes aiment à faire mourir des personnages principaux je m'attends au pire mais je me délecte toujours devant la musique et la cinématique du générique.

Dans mon esprit elle ne pourra jamais détrôner Battlestar et sa musique envoutante, j'ai d'ailleurs choisi de ne pas laisser les dvd se perdrent, ils partiront avec nous.

L'avantage de la série c'est qu'elle oppose d'une façon simpliste les bons et les méchants.

Pour parfaire mon choix, j'attends toujours des concepteurs de jeu qu'ils nous propose un vrai jeu de science fiction et non pas des ersatz mal ficelés auxquels je n'ai pas envie de jouer.

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