Where the wild roses grow - Nick Cave









Il est certain que je n'ai pas encore raconté la suite de mes aventures avec Monsieur  P.  Il m'arrive d'écrire des posts et de prendre quelques mètres de recul et de me sentir très ridicule.
J'ai toujours joué la carte de la franchise avec mon blog en précisant qu'il s'agissait d'une sorte de catharsis.

J'imagine aisément que je ne serai pas là si la vie en avait décidé autrement.

J'ai préparé un plat de résistance mais il est tellement résistant que j'en ai déjà honte d'avance, c'est la raison pour laquelle je me fais plus diplomatique ce soir.

Par conséquent, j'écris de la soupe.

Je suis bien heureuse de pouvoir profiter de cette expérience unique de ma vie d'avoir pu changer d'univers sans avoir de rancune.

J'ai la chance de pouvoir toucher des doigts d'autres cultures et de bouleverser ma vision des choses. C'est vrai, je trouve la France très ridicule désormais, je me moque aisément de toutes les lourdeurs tant administratives que culturelles qui font que là encore je trouve mes anciens collègues et comparses bien figés.

Il faudrait surtout que les derniers morpions de la métropole me lâche la grappe.

Pour le moment, je me fais pédégère de mon entreprise familiale parce que mine de rien, celle là elle ne connaît pas le dépaysement. Le wombat, n'est jamais fatigué et je dois trouver réponse à tout et forcément tout ce que j'oublie est dans ma culotte et tout ce que je cuisine est du rata.

J'ai des occupations au ras des pâquerettes, je sais, mais c'est ainsi, je suis multi-tâches.

Le détail majeur de la journée.....la lutte contre l'humidité.
Je jubilais d'avoir mis un sèche linge dans mon container .....imaginons un taux d'humidité proche du 90 % avec une transpiration qui avoisine les gouttelettes....imaginons que j'ai oublié de suspendre mon jean sur la chaise et qu'en me changeant j'ai eu cette désagréable sensation de moiteur....c'est un truc que je découvre.

Je n'ai pas encore rencontré le cafard local, il parait qu'il est monstrueux, c'est Oggy multiplié par trois.

L'énigme du jour se tient dans le titre, il faudra ensuite écouter les paroles et multiplier le nombre de complets par la racine carré du nombre de chats de la maison.

Et si vous n'êtes pas trop cons, allez mater "wish i was here" .

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