Next step










Il y a des moments où je me permets d'envoyer chier gentiment ceux qui sont les plus prompts à la critique. Quant aux sourires pincés de certaines, j'adore et je m'en délecte tous les jours un peu plus. J'ai plus envie que l'on me foute la paix surtout lorsque l'on est sensée ne pas exister, forcément sauf pour les choses qui emmerde tout le monde.

Il y a certains éfforts que je ne daigne plus faire, je n'ai même plus peur de devenir débile. Le tout est de se dire qu'il ne reste que dale avant la fin.

Depuis, j'ai ôté quelques épaisseurs, j'ai chaussé des lunettes de soleil en me demandant comment nous avions passé l'hiver. C'est la saison des boutons d'or et être loin de tout après avoir touché de près la routine, je trouve ça bien.
On oublie les chaussettes et les manteaux, on  passe des journées à ne rien faire juste attendre le soir en profitant du temps.

Dans ce drôle d'emploi du temps, oui parce que c'est du décousu de chez décousu (la raison n'est pas le moi de mai et ses ponts), mais j'ai carrément l'impression de en rien faire ou d'être complètement déconnectée de la réalité comme une grande pause........pause commencée il y a pfioutttt, au moins quatre ans et demi.

Il est clair que je ne peux pas exposer fièrement des photos marocaines ou tunisiennes de chèches et de tapis voir de bouteilles d'huile d'Argan pour touristes. J'ai connu/du supporter un groupe de copains lors de randonnées pour rien je ne remettrai le couvert.

Et dire que ça va continuer.

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