Stand by my woman










Je ne sais pas seulement écrire des lettres assassines, je réfléchis. J'ai des comptes à régler avec mon passé, je ne fais pas que ressasser, mais étaler des mots en vrac, écrire des lignes libère mon cerveau passablement encombré.

J'ai encore des choix à faire et pas des moindres. Certes ces choix ne sont que des détails dans mon vaste océan mais j'ai peu de temps pour prendre du recul. J'avance un peu, je cherche des solutions, j'en trouve petit à petit.

Je pense à l'aspect matériel des choses et je me replace loin dans le passé. 

Je fais un parallèle un peu bizarre, histoire de me rassurer. Mes phrases vont être incompréhensibles pour le commun des mortels.

Je me souviens qu'au début de cette relation, il n'y avais rien de matériel autour de nous, je me comprends, un matelas une table qui trainait comme si cela suffisait autrement écrit le bonheur réduit à sa plus simple expression ......les choses ont passablement commencées à se gâter lorsqu'un lit a débarqué, puis des étagères, puis une relation routinière comme si finalement le bonheur se suffisait à lui même.

Alors oui, le pas grand chose ou le truc simple est tout aussi bien, cela signifie que je vais devoir encore changer, évoluer, prendre du recul par rapport à certaines choses.

(Je ne finis pas ma réflexion j'irai trop loin)

J'ai simplement envie accessoirement que le peu de gens qui m'aiment puissent me rassurer, j'ai aussi besoin d'en rassurer d'autres.

(Je ne finis pas ma phrase parce que ça transpire le sentiment)

(A suivre)


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