Sweet dreams - Marylin Manson

Je fais partie de ces gens qui un jour sont capables de dire une fois enfin qu'ils vont tout arracher sur leur passage. Il suffit parfois d'un déclic pour que les rouages d'une mécanique un peu grippée se remettent en mouvement. 

Lorsque les empêcheurs de tourner en rond sont eux même en orbite terrestre.

Je m'aperçois à quel point, j'avais pu m’enterrer dans mon bureau ou à quel point on m'avait enfermé dans un placard.
Je demeure quand même prudente dans mon discours, on verra dans six mois.

Il faut aussi être conscient qu'il faut se prendre en charge, les paramètres économiques et sociaux ne sont pas du tout les mêmes. Différentes cultures cohabitent les unes avec les autres, j'ai fait de la prose très second degré avec mes papiers et mes formalités mais en réalité il faut se faire une place.

Il y a neuf ans j'étais loin de d'imaginer un tel bouleversement, dérrière les piques je me moque de moi de ma maladresse, de mon côté artichaut, de l'ennui qui pouvait m'emmener dans des chemins de traverse. Je n'en veux à personne mais qu'est ce qu'on est con parfois.
 Comme les chats ont sept vie, j'ai le droit de faire jouer l'ardoise magique.

Paradoxe, de toutes ces lignes c'est un clin d'oeil à l'émission #unesaisonauzoo, à chaque fois que j'ai du y aller j'ai refourgué les places pour en définitive me retrouver à perpette et regarder la vie des animaux locaux, des lions, des otaries, des girafes .......