The more you ignore me








(Morrissey)

Comment dit-on déjà ...un, deux, trois, bref on est dans la dernière ligne droite de ce que je savais déjà il y a quelque temps.
Ceci n'étant qu'une étape avant de prendre une vraie décision, et si justement c'était le moment où jamais, le temps devrait s’accélérer d'une manière ou d'une autre.

[Larguons les amarres]

Un jour je pourrai envoyer chier mon banquier puisque je frôle le découvert autorisé tous les matins via des sms qui me rappellent sans cesse que je suis dans le rouge. 

[envie de faire la révolution]

Prêt impossible, délais improbables, huissier qui se pointe un matin dans le brouillard, ça craint, c'est chaud, dur dur de se concentrer sur l'essentiel.
J'arrête de tourner autour du pot.........j'hésite à vendre, je ne sais pas, je n'arrive pas à prendre de décision.

[J'ai les mains dans le cambouis]

C'est un peu comme dans les intros de ces séries, dans lesquelles la voix off fait un constat, et amorce la lecture de jolies phrases parce qu'au final tout le monde s'aime.

Oui BORDEL, je suis fauchée mais tellement heureuse, tellement libérée, tellement fière de pouvoir brandir le drapeau de la liberté que je m'en balance comme de mes première culottes !
Il a fallu en passer par là pour s'embrasser, pleurer dans les bras l'un de l'autre, pour enfin retrouver ce qui me manquait. Je n'oublie pas de rêver parce que ça fait aussi du bien de se projeter même dans un monde irréel.

[Allez je retourne jouer.....................]


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