Into the wild











Comprenons nous bien, toute cette sensibilité exacerbée n'a rien à voir avec ma vie d'aujourd'hui. C'est un peu comme des trucs un peu moches que l'on porte à la maison, ou les vieux tee-shirts troués que l'on ne jette pas, voire même des vieilles chaussures dans lesquelles je suis encore bien.

Au bout d'un moment, il faut se sortir les doigts du C....et arrêter de les porter.

Il y aussi des évènements plus inquiètants que j'élude volontairement, ceux dont je devrai un peu plus m'occuper, il y aussi certaines tâches pour lesquelles je n'ai abolument pas envie de faire le moindre éffort.

J'ai très certainement beaucoup trop porté mes vieilles frippes et avant de crever d'ennui dans un endroit que je déteste il n'y a pas trente six solutions, il n'en reste qu'une seule.

Sans cette solution,  je me dédouble.

Une partie de moi avance, projette, gère, profite sans compter de tous le moments tels qu'ils se présentent, mais une autre partie est fortement chriogénisée comme si j'étais punie de mon infidélité.

Aller, encore quelques semaines à tenir au fond de ce trou et enfin j'arrêterai de me dédoubler ..........ouf.

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