Close together
Je pourrai intituler ce post le monde ou la culture des paradoxes.
Etant moi même un paradoxe et devant m'adapter continuellement d'heure en heure j'ai forcément du mal.
Je râle.
Parce que je ne suis ni pauvre ni riche, ni bonne ni mauvaise, toujours un peu entre les deux mais en total décalage culturellement.
Je suis aussi impatiente, que révoltée.
Recommencer à zéro, je connais, ce n'est pas la première fois, ni la dernière d'ailleurs.
Je remplis un verre et je vois un autre verre se vider. Forcément, je n'accepte pas forcément la tournure des évènements même si j'ai une sainte horreur de la formule , c'était mieux avant. J'ai horreur de ces nostagiques des années d'antant
J'ai horreur de l'injustice.
Mais, je ne suis solidaire de personne, égoîste dans mon monde.
Paradoxale !
Je sais ce qu'il me faut et ce qu'il me manque et en définitive c'est très certainement ça qui me fait le plus sauter au plafond en fin de journée.
Je ne voudrai pas que l'alchimie prenne fin. je voudrai juste que cela continue.
A vrai dire, je suis tout de même plus proche de ce genre de couplet !
"Il nous faut aussi
Un jean usé
Que l'on partage
Deux trois secrets
D'enfants pas sages
Il nous faut l'envie
De rendez-vous
Un très grand lit
Sans rien autour
Non rien"
On est loin du Brandt Rapsodie que j'ai pu vivre qui n'a engendré que du gâchis.
Il y a très certainement moins de mots mais plus de sincérité, ça manquait, ça fait avancer, ça donne envie d'aller plus loin .......
To be continued.
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Commentaires
Et je trouve ça bien.